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Enquête sur 19 communes à la veille de la grande guerre

Tels Scherlock Homes, suivez les traces des élèves des 24 classes qui ont mené l’enquête. Ils présentent aujourd’hui un travail sur le tramway, les populations, les paysages, les métiers, mais aussi la femme à barbe de Thaon ou Louis, le 1er jeune soldat du 170e RI tué à la guerre. Des histoires qui forment l’histoire  des communes à la veille de la guerre !

Avant la Guerre, il y avait la paix. Une évidence, mais c’est ce que ces enfants ont découvert. Il y avait des villages, des écoles, des noms de rue, des métiers, une harmonie municipale et même un tramway  et une base d’aérostats !

Un autre monde

C’était un autre monde. Pas d’électricité, juste un poêle à bois etdes bougies, la plume et l’encrier, pas de machine à laver, ni de réfrigérateur et  des WC au fond du jardin, difficile à imaginer pour des enfants qui ont toujours vécu avec le confort !

Un travail d’historien en herbe

Merci aux élèves qui ont fait ce travail de recherche, félicite Gérald Guery, vous avez fait un vrai travail d’historien en faisant des recherches, en cherchant des témoignages et en écrivant des textes explicatifs”. “Un travail qui prouve que les enfants et les jeunes s’intéressent encore à l’histoire“, constate Fayçal Douhane, directeur de cabinet du préfet avec satisfaction.

La mémoire doit rester

Heureusement, les photos parlent, car c’est aujourd’hui un peu difficile d’avoir des témoignages. Au Fort d’Uxegney, il y avait une centaine de militaires chargés de surveiller les voies de communication … Ça fait rêver à une époque, où le chômage fait des ravages. “C’est important d’associer les plus jeunes au Centenaire, déclare William Mathis, conseiller général, il est important de comprendre en quoi la guerre a révolutionné les sociétés. Le souvenir s’estompe mais la mémoire doit rester !”

La paix est fragile

Aujourd’hui,. la réalité est tout autre ! “La guerre a détruit un mode de vie, souligne Léon Folk, directeur académique des Vosges.  Elle a terriblement bousculé les lignes. “Après, ce n’est jamais comme avant. La paix était fragile hier, elle l’est encore aujourd’hui. Merci de nous faire réfléchir à tout ça”.

Exposition gratuite à voir jusqu’au 27 juin aux Archives départementales

 

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