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Exposition – Les Clins d’oeil argentiques de Stéphane Renaux

Stéphane Renaux est un amateur éclairé, qui se passionne pour la photo depuis 25 ans. Il est resté fidèle à l’argentique, parce qu’il peut développer lui-même ses photos. Un regard léger, qui saisit l’insolite, les contrastes, le clin d’oeil qui va faire sourire, la touche d’humour qui humanise le cliché. Du 23 février au 27 mars à la BMI d’Épinal.

L’homme n’a pas de prétention, juste celle que vous vous saisissiez à votre manière des clichés qu’il vous livre. Du pur argentic, “parce qu’il y a un procédé d’attente, l’espérance d’une photo avant de découvrir le résultat”.

Flâneries

Il a appelé son exposition “Flâneries”, parce qu’il erre là où sa passion le porte, sans pression, sans bousculade et qu’il prend le temps de découvrir ce qui va l’interpeller et susciter l’envie d’appuyer. Et beaucoup de ces flâneries sont vosgiennes !

Dans un contexte de fête

Il  y a dans son oeuvre, un rapport au temps qui passe, une pointe de nostalgie pour une époque où l’on prenait encore le temps de vivre et d’apprécier la vie au naturel. “Je photographie les gens souvent dans un contexte de fête”, commente l’auteur, pour une raison technique, “L’appareil photo n’y est pas un intrus“, mais peut-être aussi parce que les gens se “lâchent ” et laissent transparaître ce qu’ils sont sans faux fuyants.

Des clins d’oeil humoristiques

J’aime biens les petits clins d’oeil, le coté décalé”, confie Stéphane Renaux. J’ai longtemps photographié les majorettes. je trouvais que c’était gentiment rétrograde…”. Pour lui, une bonne photo fait que “quand on la regarde, on a l’oeil qui frise”. Peu importe le sujet, mais il faut réunir 3 critères, la lumière, la composition et le tirage.

“Entrer en vibration” avec la photo

Il faut entrer en vibration avec la photo, qu’elle résonne en vous et on ne peut pas présumer du regard d’autrui, explique-t-il. Vous faites la photo parce que vous la sentez, en espérant que le public partagera un peu de votre ressenti”.

Des contrastes

Il propose une Miss seule dans une friche industrielle, une sculpture dressée qui tourne le dos à la foule, une famille plutôt rebondie en pique nique, des Miss qui quittent leur statut majestueux pour déguster des glaces comme des petites filles à peine sorties de l’enfance, … Le regard erre derrière les vieilles granges ou les pierres centenaires de maisons de famille… à la recherche du détail qui va dédramatiser la quiétude et créer des ruptures de rythmes.

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