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Attentats de Paris – Pierre-Jean Robinot – Un sentiment d’impuissance !

Pierre-Jean Robinot a quitté le Front national parce qu’il ne se retrouvait plus dans ce qui était mis en place. Il se dit partagé entre tristesse et indignation.

Pour lui, ce qui s’est passé cette nuit, est la suite logique des attentats de Janvier et le résultat de la politique politicienne. “Les actes sont de plus en plus violents et meurtriers et l’indignation des gens est en baisse, il y a comme une sorte de résignation“, constate-t-il.

J’en veux à tous les politiques !

Les gens sont abasourdis par ce qu’il se passe. “J’en veux à tous les politiques de quelque parti qu’il soit ! Le travail d’un politique est de protéger les populations puis d’anticiper. Or on sait qu’il va se passer quelque chose mais on n’est pas capable de dire où et quand. À force de vouloir faire plaisir à tout le monde, il y a un réel manque de contrôle de la situation”.

A force de détricoter les forces de sécurité …

Pour lui, la position de la France est beaucoup trop floue. “L’islamisme extrémiste est dangereux parce qu’il est plus désorganisé“. Le seul moyen d’empêcher une dégradation de la situation est le contrôle aux frontières et certainement pas de détricoter l’armée et les forces de l’ordre.

Les politiques manquent de cap

L’opinion publique s’exprime contre le laxisme du gouvernement. Il faut écouter les populations. Les politiciens sont dans la course à l’élection, ils ont arrêté de gouverner. Les politiques ne maîtrisent plus rien parce qu’ils n’ont pas de cap”.

Gagner la bataille de la France

Mais quand on en est à entrer avec une kalachnikov dans une salle de spectacle qui rassemble 1500 personnes, la querelle des personnes politiques ne comptent plus face à la bataille de l’avenir de la France”, conclut-il.

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