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CREC – Les petits deviennent aussi performants que les gros !

La CREC, coopération de rénovation énergétique et de construction existe depuis décembre 2015. Elle regroupe 7 sociétés associées sur la déodatie, pour la  rénovation et la construction. Avec des frais de structures minimes, elle peut proposer des prix et des garanties.

Joël Schoenher est président d’un groupement d’achat, la Scab, il est donc convaincu de l’intérêt des pratiques collectives. “Lors d’une réunion  nationale, je me suis rendu compte qu’il existait des coopératives de construction et je me suis rapproché de l’UFCAC (Union Française des Coopératives Artisanales de Construction)“, explique-t-il.

La coopérative n’a presque pas de frais de structure, les études sont faites en interne, ce qui leur permet d’afficher le “juste coût”. “Nous pouvons prendre des chantiers importants et garantir nos prix”, poursuit-il. la coopérative regroupe 7 entreprises associées qui comptent 75 salariés et couvrent le gros oeuvre-terrassement, la charpente-couverture- construction bois, isolation plâtrerie, menuiseries internes et externes, électricien, chauffagiste, peinture et paysagiste. Un carreleur va rejoindre l’équipe prochainement.

Pour l’instant, il n’y a qu’une coopérative adhérente à l’UFCAC dans le Grand Est et 50 en France. “La coopérative est apporteuse d’affaires pour ses adhérents. Nous offrons toutes les assurances décennales nécessaires. Nous avons un garant et une assurance à coût très bas si les banques la demande au maître d’oeuvre”.

En 2016, nous avons cherché nos marchés. Notre clientèle aujoursd’hui, est essentiellement composée de particuliers, mais aujourd’hui, l’agglomération de Saint-Dié s’intéresse à nous, d’autant plus qu’on est ne capacité de répondre à leurs appels d’offres et qu’on est local ! C’est un atout majeur à l’heure où l’on veut développer l’économie circulaire”. Ils se déplacent dans un rayon de 80km autour de Saint-Dié.

La première année, la coopérative  afait 30K€, la 2e année en 2017, elle est passée à 450K€ et cette année, elle prévoit de faire 700K€ de CA. “Si on développe fortement nos marchés, on doublera nos métiers. Aujourd’hui, le plus difficile à intégrer est le paysagiste

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