Mercredi, la police est appelée par la maman d’une jeune femme de 31 ans, parce que sa fille a été une nouvelle fois battue sérieusement par son conjoint âgé de 37 ans. La police se rend au domicile, rue de la grotte. Le conjoint venait de quitter le domicile, et la jeune femme présente une plaie importante à l’oeil.
La mère rappelle la police jeudi pour dire que le conjoint est rentré chez lui. Les policiers vont l’interpeller et le place en garde à vue.
5 jours d’ITT pour la victime
La jeune femme écope de 5 jours d’incapacité totale de travail. Les traumatismes sont compatibles avec des coups de pieds et des chocs. Le conjoint reconnait s’être énervé et avoir balancé des gifles, explosé son téléphone et balancé un bol, mais il nie l’avoir volontairement visée. Il reconnait être jaloux et douter que sa fille soit bien de lui. Ce qui le met en rage.
Une confrontation qui ne mène nulle part
La police procède à une confrontation. Chacun reste sur ses positions. Finalement énervé, le conjoint se lève pour retourner dans sa cellule et mettre fin à la confrontation. Il semble qu’il fasse preuve de violence depuis plusieurs années. Il a déjà passé ses nerfs sur le mur ou les meubles qu’il a cassés.
4 mois de prison fermes
Le parquet le convoque en comparution immédiate. Mais s’il n’était pas connu pour des violences conjugales, les policiers avaient déjà eu affaire à lui pour d’autres faits. Le juge requiert un an de prison avec 8 mois de sursis et 2 ans de mise à l’épreuve. Il devra faire 4 mois fermes.
