Sécurité – Un protocole pour traiter les violences familiales

Ce matin, le préfet, le Conseil général, le Procureur de la République, et  les forces de l’ordre, signaient un protocole pour le traitement des affaires de violence familiale.

 
En 2013, 237 déclarations de «  mains courantes » ont été recueillies par les services de Police et 173 procès-verbaux ont été établis par la Gendarmerie.

Pour les faits graves, c’est le procès verbal

S’agissant de faits graves, le recours à la main courante est exclu. Tout signalement doit donner lieu au moins à un procès-verbal. Les services de Police et de Gendarmerie font alors un suivi des faits déclarés. Ils verront  s’il faut recontacter la victime pour lui proposer de déposer plainte.

Accompagnement d’un intervenant social

Quand une victime vient au commissariat ou à la gendarmerie, on lui propose l’accompagnement d’un intervenant social présent régulièrement dans les locaux des services de Police ou de Gendarmerie. Ce dernier doit alerter le service enquêteur, si la situation s’aggrave et s’il y a de nouvelles violences.

Une juriste au commissariat

Depuis 2009, une juriste est là pour écouter et conseiller le conjoint violenté dans les 3 commissariats d’Épinal, St-Dié-des-Vosges et Remiremont.

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page